Cette rubrique recense les articles et ouvrages qui concernent pour tout ou partie Lucie Delarue-Mardrus. N'hésitez pas à proposer des titres.

 

 

Vient de paraître aux éditions d'Otrante !!!

Promenades en Normandie avec des poètes disparus, par Claude Leroy

 

                  En rangeant ma bibliothèque, je retrouve un livre intitulé Promenades en Normandie avec des poètes disparus (ed. Charles Corlet, 1977). Ce livre est un recueil de textes, de photos, et d’extraits d’œuvres d’écrivains d’origine normande et je vois Lucie Delarue-Mardrus, Henri de Régnier. Cette anthologie est écrite par Claude Le Roy. Dans l’avant-propos, il invite à aller au-devant de ces écrivains disparus et décrit un paysage, une image, la demeure où ils vécurent, tout nous parlera d’eux.

Notre poètesse, appelée « la duchesse », est tout d’abord dans ce livre, l’objet d’une courte biographie qui commence toutefois par  « et qui donc a jamais guéri de son enfance ».  On y apprend qu’elle écrivait des poèmes à l’âge de 5 ans et aimait la musique et la peinture : Mademoiselle quat’zarts !

Toutefois, Lucie n’a pas négligé ses études puisqu’elle passe son «  bachot » à l’âge de 17 ans.

L’auteur rappelle son attachement à sa région natale, aux bois du Breuil, son élan permanent vers la nature et les prairies qui longent à l’époque les bords de mer.  Cet attachement, malgré la vie qu’elle mènera ensuite à St Germain-en-Laye puis à Paris avec son mari le docteur Mardrus, la ramènera malgré les voyages divers et lointains qu’elle fit en sa compagnie,  à Honfleur, au Pavillon de la Reine où fut fondée la société des écrivains normands en 1923 que Lucie présidera.

Toutefois, la Normande pouvait se transformer en mondaine,  après l’armistice lors de la Première Guerre mondiale où elle recevra et tiendra alors des salons littéraires. Mais avant elle aura été infirmière pour soigner les blessés à l’hôpital d’Honfleur.

C’est après le déclin de sa vie, les difficultés de l’âge, de la santé, des relations et personnes chères disparues et le départ de Lucie.

 L’auteur de cette publication estimant que les romans, écrits par elle, ne méritaient pas tous de «survivre », mais les poèmes n’ont  pas rencontré tout le succès qu’ils méritaient. Alors même qu’elle dit elle-même que sa poésie était la seule qui l’explique et qui la justifie.

L’auteur relève l’attachement qu’elle gardera viscéralement en elle pour sa région natale.

L’Odeur de mon pays est intégralement retranscrite dans ce livre ainsi qu’une bibliographie partielle des œuvres littéraires de Lucie.

 

 

Jacqueline Dunot

Vient de paraître dans Maisons Normandie d'août-septembre 2017, une double page sur Lucie Delarue-Mardrus. 
C'est p. 88-89. 

 

 

 

 

 

 

Vient de paraître aux éditions Garnier, collection "Correspondances et Mémoires".

No 15, 177 p.

ISBN 978-2-8124-3321-4, 29 € 

 

On y trouve quelques lettres de Lucie Delarue-Mardrus...

ISBN : 978-2-84990-455-8

16 euros

 

 

Voici une heureuse réédition ! C'est toujours un plaisir de relire ce titre... Il s'agit du premier volume du cycle de Siona, série de romans autobiographiques de la consoeur et amie de Lucie Delarue-Mardrus, Myriam Harry. 

Le volume est illustré par des gravures de Frédéric de Haenen. 

On y lira également la préface que Jules Lemaître consacra à la première édition de ce roman ainsi que l'article de Paul Auvray consacré au "Deutéronome de Shapira" et les découvertes de Qumrân. Cet article fait le point sur le scandale qui éclaboussa le père de Myriam Harry et le poussa au suicide. C'est à la suite de cette "affaire" que celle-ci quitta Jérusalem pour s'installer en Europe et débuter sa carrière de romancière. 

Solitaires, solidaires. Conflicts and confluence in Women's Writings in French  rassemble les communications du colloque Women in French qui s'est tenu à Leeds en 2013. Il a été publié par Elise Hugueny-Léger et Caroline Verdier au Cambridge Scholars Publishing.

Cet ouvrage bilingue se propose d'examiner les tensions existant entre solidarité et solitude. Il est divisé en 3 parties : "Women in dialogue through centuries", "Journals, journaux and networks" et "Solidariity and estrangement in contemporary writings". 

On y croise les figures de Liane de Pougy, peu connue dans son rôle d'écrivain, de Natalie Clifford-Barney et de Marina Tsvetaeva lesquelles se fréquentèrent un temps... La naissance de la presse féminine, le jury du Prix Femina y sont évoqués. 

 

 

 

 

Vient de paraître le n°4 de la revue Le Pan des muses intitulé "Tant de Philomèle en ce monde". 

 

 

 

 

 

 

 

Créatrices en 1900 par Charlotte Foucher Zarmanian
Cet ouvrage qui traite des femmes artistes dans les milieux symbolistes en France a été récompensé par le Prix du Musée d'Orsay en 2013.
A découvrir...
CP-Creatrices en 1900 V5.pdf
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"Le Club des Belles Perdrix" par Claire Bastier
Un article paru dans Les Cahiers de la gastronomie d'automne 2014 évoquant ce club gastronomique auquel appartint Lucie Delarue-Mardrus.
BELLES_PERDRIX_SEPT_2014 (1).pdf
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Les Milles et une nuits et les enchantements du Docteur Mardrus par Dominique Paulvé et Marion Chesnais. 

Musée du Montparnasse -Editions Norma, 2004.

ISBN 2-909283-91-7

 

Cette biographie du Dr Joseph-Charles Mardrus (1868-1949), préfacée par Fr. Mitterrand, nous en apprend davantage sur l'époux de Lucie Delarue-Mardrus. Un chapitre est d'ailleurs consacré à la romancière et poétesse. 

Cet ouvrage est également abondamment illustré, on y trouve des photos de la Princesse Amande peu connues. 

 

Actes du colloque "Genre, Arts, Société: 1900-1945"

   C'est avec un grand plaisir que nous annonçons la parution du volume des Actes de notre colloque "Genre, Arts, Société: 1900-1945" qui s'était tenu à Reid Hall les 22 et 23 janvier 2010.

Cet ouvrage paru aux éditions Inverses en janvier 2012 reprend 17 des 18 contributions offertes à cette occasion.

J'ai eu le plaisir de réunir et de présenter ces articles rédigés en français ou en anglais pour l'un d'entre eux, toujours de grande qualité et souvent illustrés. De nombreux arts sont représentés: littérature, sculpture, peinture, photographie et danse, de 1900 à 1945. La troisième partie de l'ouvrage est entièrement consacrée à Lucie Delarue-Mardrus.

L'ensemble est précédé d'un éclairant avant-propos de Mme Anne E. Berger, Professeur de littérature française et d'études de genre à l'Université Paris 8.

Merci encore à toutes les personnes qui ont permis la réalisation de ce colloque, notamment Anne-Marie van Bockstaele qui a accompli un travail remarquable et Pascal Dubuis qui a permis cette publication (voir le site des éditions inverses à cette adresse: http://www.inverses.fr/numerosparus.htm). 

Ci dessous, vous pouvez télécharger la première et la quatrième de couverture. N'hésitez pas à diffuser cette nouvelle autour de vous.

Patricia Izquierdo

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Le langage des fleurs de Pauline Tarn (Renée Vivien)

   Va paraître en mars 2012 un superbe inédit de Pauline Tarn, orthonyme de Renée Vivien.

Ce recueil de 33 poèmes a été communiqué par sa descendante Imogen Bright  à Nicole G. Albert qui le présente. C'est un cahier de la jeune Pauline agée de 16-17 ans, écrit entre 1893 et 1895 environ. Cet ouvrage prouve les connaissances florales précises de la jeune Anglaise et sa parfaite maîtrise déjà de la langue française.

Cet inédit permet de mesurer le travail d'écriture de celle qui n'est pas encore Renée Vivien.

A noter qu'il existe une première version de ce recueil, beaucoup plus brève, consultable à la Bibliothèque Nationale de France.

Saluons ce magnifique travail des editions ErosOnyx d'Yvan Quintin qui ont déjà publié d'autres ouvrages de Renée Vivien: Poèmes 1901-1910, Sapho, Les Kitharèdes, Etudes et préludes, Cendres et poussières, Sapho   (voir le site http://www.erosonyx.com/?Le-Langage-des-Fleurs-a-paraitre), et l'analyse passionnante de Nicole G. Albert, spécialiste de la littérature fin de siècle et saphique. La reproduction des 13 pages du cahier manuscrit apparaît à la fin du recueil.

Patricia Izquierdo

Les femmes en littérature au début du XXe siècle

Inverses Littératures, Arts et Homosexualités, est une publication annuelle de la Société des Amis d'Axieros.

Cette année l'ouvrage est en partie consacré à un dossier spécial "Les femmes en littérature au début du XXe siècle". Neuf contributions s'intéressent à Valentine Penrose, Maria Olga Morais de Sarmento, Claire Francillon, Natalie Barney, Georgette Leblanc, Marie Dauguet, Aline Mayrisch de Saint-Hubert, Anton Prinner, Anna de Noailles et Lucie Delarue-Mardrus.

Si vous désirez commander cet ouvrage, cliquez ci dessous.

Vous découvrirez également ci dessous un compte rendu de Nelly Sanchez à propos de cet ouvrage.

Bonne lecture...

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Ma Blonde

   Vient de paraitre en février 2010 dans une superbe édition "L'Amazone retrouvée" (Venise) un florilège de lettres de Lucie Delarue-Mardrus adressées à Natalie Barney, de 1902 à 1942.

   Nous devons ce formidable travail à la pugnacité de Francesco Rapazzini, journaliste, romancier et chercheur, membre de notre association et auteur d'une biographie remarquable d'Elisabeth de Gramont (Elisabeth de Gramont, avant-gardiste, Fayard, 2004), et à Chantal Bigot, libraire d'exception qui a créé "Les Amazones", spécialisée dans les écrits (de et sur les femmes) et l'histoire des femmes (voir http://www.galaxidion.com/amazones/). 

   Cette publication à tirage limité (100 exemplaires) de très belle facture (et un papier de grnde qualité) présente de nombreuses illustrations issues de collections particulières, dont "La main de Lucie Delarue-Mardrus, dessinée par Marcelle Routier en 1937 et signée par par Lucie", et de belles photographies de Lucie Delarue-Mardrus en 1904 (pp. 64, 121, 127, 149 et 180), 1909 (pp. 169 et 175), 1913 (p. 218), 1934 lorsqu'elle présidait le prix Femina aux côtés de Julia Daudet, Yvonne Sarcey et Marcelle Tinayre (p. 223), et en 1937, p. 266. Nous pouvons admirer aussi  le tableau d'Aman-Jean de 1910, p. 213, et des fac simile de manuscrits où l'on remarque son élégante graphie. Sans oublier les deux photographies où Lucie Delarue-Mardrus et Natalie Barney apparaissent côte à côte, de dos malheureusement, en 1902 (p. 67) à Neuilly, dans le jardin, et en 1903 sur les quais de la Seine, p. 111. 

   Une préface et des notes éclairantes de Francesco Rapazzini complètent ce recueil émouvant que j'ai dévoré d'un trait. Quels destins fabuleux! Nous les suivons pendant quarante ans, deux guerres, plusieurs déchirements, au gré des vicissitudes de leurs vies privées et publiques.

   C'est d'abord bien sûr leur liaison tumultueuse, tempêtueuse, de 1902 à 1903, avec des lettres sensuelles et exigeantes qui montrent à la fois l'intransigeance de Lucie Delarue-Mardrus et l'inadéquation de leur caractère, puis une amitié, elle-même ombrageuse et inégale mais qui perdure néanmoins, par delà les déménagements successifs de Lucie (jusqu'à Château-Gontier), la deuxième guerre mondiale qui les sépare et les nombreuses conquêtes de Natalie.

   Ces traces de vie  touchent par leur authenticité et leur simplicité. Sans fard, Lucie Delarue-Mardrus évoque sa vie, ses difficultés matérielles auxquelles la généreuse Natalie remédie bien souvent, et ses problèmes de santé (son "rhumatisme articulaire et déformant", p. 217) qui vont s'aggravant. Elle masque toutefois la rudesse de sa vie avec Germaine de Castro qui devient une véritable sainte. Par pudeur sans doute.

   Les aléas de sa renommée littéraire déclinante apparaissent également en toute transparence.  Le refus récurrent de ses romans, de ses nouvelles et de ses poèmes, de ses articles aussi, n'entame pas son besoin d'écrire, malgré la douleur physique. Son infatigable créativité affleure souvent. Ce florilège permet de découvrir de nombreux poèmes inédits, des lettres en Anglais aussi et quelques mots et expressions Arabes dont elle aimait parsemer ses lettres. Toutes particularités que nous retrouvons fréquemment dans ses cahiers intimes contemporains inédits. 

   La majorité de ses lettres provient du fonds Natalie Clifford Barney de la Bibliothèque Littéraire Jacques Doucet à Paris.

   Suivent, en Annexe, des lettres adressées à Ernest Prévost et qui appartiennent à la collection de Francesco Rapazzini. Cet homme célèbre en son temps, poète proche notamment de Coppée, Sully-Prudhomme, Richepin et du Honfleurais Henri de Régnier, apparaît comme un bienfaiteur car il permit à Lucie Delarue-Mardrus , en tant que Président de la Société des Poètes, d'obtenir en mai 1941 une "indemnité littéraire" de 6000 francs par an lorsqu'elle était démunie. Naquit entre eux une amitié de 1941 à la mort de Lucie Delarue-Mardrus (plus exactement cinq mois auparavant, en novembre 1944). 

   Saluons ce superbe travail qui fait date déjà et dont il y aurait tant à dire encore... 

   C'est un cadeau de luxe à se procurer de toute urgence...

  

Lettres de Camille Delaville à Georges de Peyrebrune (1884-1888) préfacées et annotées par Nelly Sanchez

Vient de paraitre en janvier 2010 sur le site du laboratoire du CNRS (UMRS 6365) http://www.ccji.cnrs.fr/ actuellement dirigé par J.-M. Hovasse, la correspondance que Camille Delaville (1838-1888) adressa à sa consœur Georges de Peyrebrune (1841-1917). Camille Delaville est l’un des pseudonymes de Mme Adèle Couteaux qui fut, selon la rumeur de l’époque, la dernière secrétaire d’Alexandre Dumas père. Celle-ci écrivit quelques romans dont La Loi qui tue (1875) qui dénonçait l’iniquité des lois du divorce envers les femmes. Elle fonda deux revues éphémères, Le Passant (1882) et La Revue Verte (1886-1887). Elle fut davantage connue pour ses chroniques qui paraissaient notamment dans La Presse, Le Gaulois, L’Evènement, et ses portraits publiés dans Le Constitutionnel sous le titre « Mes Contemporaines ». Annotée et commentée par le Dr. Nelly Sanchez, cette correspondance, qui couvre la période 1884-1888, reflète non seulement l’amitié naissante entre ces femmes de lettres mais également la société parisienne du moment. De nombreuses personnalités, comme Catulle Mendès, Rachilde, Louise Abbéma ou encore Mathilde Stevens, y sont en effet évoquées. Cette petite centaine de lettres peut également se lire comme un roman, celui d’une littératrice vieillissante qui a de plus en plus de mal à se faire une place sur la scène littéraire de cette fin de siècle.

 

Bien que cet ouvrage ne présente pas de lien direct avec Lucie Delarue-Mardrus, l'échange entre ces deux femmes de lettres contemporaines permet de mieux prendre conscience du statut émergent de la femme auteur à l'époque et de l'atmosphère les entourant. La longue préface analyse bien les conditions socio historiques de leur correspondance très intéressante et amusante.

La Frondeuse. Marguerite Durand, patronne de presse et féministe

Vient de paraître en février 2010 La Frondeuse. Marguerite Durand, patronne de presse et féministe chez Payot. Ecrite par Elizabeth Coquart, cette biographie retrace l’existence de la fondatrice du quotidien La Fronde, journal où débuta Lucie Delarue-Mardrus. Cet ouvrage relate également les différents combats féministes que mena cette ancienne comédienne de talent et ses succès en matières d’avancée sociale. On lui doit notamment la création de nombreux syndicats.

Devenir poétesse à la Belle Epoque

30 novembre 2009

 

   Vient de paraître chez l'Harmattan, (collection "Espaces littéraires") Devenir poétesse à la Belle Epoque de Patricia Izquierdo. Cet essai littéraire, historique et sociologique essaie d'expliquer l'avènement de quatorze femmes poètes, écrivains et artistes, dont Lucie Delarue-Mardrus, de 1900 à 1914: comment ont-elles réussi à s'imposer pour la plupart dans un monde littéraire confisqué par les hommes? 

  Vous découvrirez les parcours croisés de Natalie Barney, Marguerite Burnat-Provins, Marie Dauguet, Lucie Delarue-Mardrus, Jean Dominique, Gérard d'Houville, Judith Gautier, Marie Krysinska, Anna de Noailles, Amélie Murat, Cécile Périn, Hélène Picard, Cécile Sauvage et Renée Vivien.

  Ces femmes étonnantes et audacieuses présentaient souvent une réelle qualité d'écriture trop négligée par l'histoire littéraire.

   Voir le lien : 

http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=30068

Lucie Delarue-Mardrus de Honfleur à Château-Gontier l'itinéraire de la "Princesse Amande"

7 octobre 2009

 

   Un numéro spécial de la revue L'Oribus (association de recherche historique locale de Château-Gontier en Mayenne) en vente uniquement en Mayenne et consacré à Lucie Delarue-Mardrus vient de paraître. C'est le résultat d'une réflexion de deux ans effectuée par un professeur d'histoire géographie, Monsieur Loïc Bouillé, qui s'est beaucoup intéressé à Lucie Delarue-Mardrus et qui a consulté les archives de sa ville et des écrits inédits de l'auteur. Dans cet ouvrage, un inédit de Lucie Delarue-Mardrus est publié, La Guerre des Civils. L'ensemble est remarquablement bien illustré.

Pour vous procurer à distance cet ouvrage, vous pouvez imprimer et envoyer le bon de commande ci-dessous à l'adresse indiquée.

Oribus.pdf
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Revue Inverses dossier spécial "Lucie Delarue-Mardrus"

Revue Inverses

   Un superbe dossier spécial Lucie Delarue-Mardrus de la revue Inverses est paru le 6 juin 2008. Voir le site : http://www.inverses.fr/numerosparus.htm#Numero8.

La cote ISBN de l'ouvrage est la suivante: 1627.8852. Les articles sont de grande tenue et les illustrations de belle qualité. Le numéro est en vente au prix de treize euros. Plusieurs membres de l'association ont rédigé un article et l'association elle-même est présentée, avec le logo, p. 139.


Nos secrètes amours

Réédition

   Nous tenons à saluer le superbe travail de Mirande Lucien qui, en collaboration avec la revue Inverses, a publié chez ErosOnyx, en 2008, une réédition riche, annotée et commentée, agrémentée de deux portraits de Natalie Clifford Barney et de Lucie Delarue-Mardrus. C'est la première fois que ce recueil est édité avec son nom d'auteur.

Signalons également chez cet éditeur une réédition de Les Kitharèdes de Renée Vivien, en 2008, et de Sapho, en 2009.

Voir le site http://www.erosonyx.com/

Regards sur la poésie du vingtième siècle

    Est paru un article de Patricia Izquierdo intitulé « Lucie Delarue-Mardrus, un poète à (re) découvrir » pour l'anthologie de Laurent Fels Regards sur la poésie du vingtième siècle qui est paru en décembre 2008 aux Presses Universitaires de Namur en Belgique.